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Les  membres du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (CAFCO) ont été aux anges. Elles étaient fières de la nomination des femmes à des postes clefs  et à l’accroissement de leur effectif au sein du gouvernement Sama Lukonde, comme elles l’avaient témoigné le vendredi 16 avril dernier, lors d’une manifestation à leur siège, à Gombe.

27 femmesElles encouragaient, dès lors, le Président Félix Tshisekedi à poursuivre les efforts amorcés pour assurer la représentativité féminine dans les autres institutions du pays. Ce, conformément à la Constitution.

Dans leur message de remerciement au Président de la république après la publication du gouvernement Sama Lukonde, elles avaient rassuré le Premier citoyen congolais de leur accompagnement tout au long de son mandat pour l’émergence de la RDC. Car, soutenaient-elles, « élever une femme, c’est élever une nation« . 

En remerciant « le Garant de la Constitution et de la parité en RDC« , ces dames avaient noté avec satisfaction l’élévation de 15 femmes sur 56 membres du gouvernement. Ce qui ramène à 27% la représentativité féminine.

Les membres du CAFCO félicitaient, à cet effet, le Président Félix Antoine Tshisekedi pour « son implication personnelle dans l’augmentation du nombre des femmes dans ce gouvernement et pour les avancées remarquables réalisées par rapport au cabinet sortant (équipe de Sylvestre Ilunga) dans lequel les femmes étaient représentées à hauteur de 18%« .

Mathy MUSAU

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participant

 

Les participants à l’atelier de renforcement des capacités des membres du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (CAFCO) ont mis en place une feuille de route pour adapter et innover afin de rendre plus performant, cette plate-forme.

Au nom de la ministre du Genre, Famille et Enfant  son directeur de cabinet a pris l’engagement de prendre en compte,  dans son agenda, toutes les recommandations issues de ces assises. Gisèle Ndaya, a promis d’accompagner et de s’impliquer pour leurs mises en oeuvre.

S’approprier la feuille de route

Pour sa part, la secrétaire générale de CAFCO, a indiqué que la feuille de route produite décline quelques thématiques; à savoir la chaine de valeur agricole et minière; l’éducation, les élections et le leadership, l’environnement, et le changement, les reformes des services de sécurité, l’état de droit et l’accès à la justice ainsi que la médiation sociale.

Adine d’Or Omokoko est convaincue qu’il est temps pour les participants venus d’autres provinces et ceux de Kinshasa, de s’approprier la feuille de route pour adapter et innover afin de rendre plus performant le CAFCO. Un plaidoyer qui va s’orienter vers d’autres thématiques en dehors de celles habituelles, a-t-elle poursuivi.

Elle a, en outre, laissé entendre que l’approche  » Gender washing  » est une nouvelle donne qui impose le renforcement continu des capacités de ses membres, l’appropriation collective de la vision institutionnelle de cette plate-forme.  Il était question au cours de cette session de formation, de décliner un leadership plus actif aligné à l’agenda du Président de la République, pour le bien-être collectif des hommes et des femmes. Elle n’a pas manqué de remercier le PNUD pour sa disponibilité à accompagner toujours CAFCO pour sa professionnalisation.

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LES CONSULTATIONS NATIONALES (RDC) : DES FEMMES DE LA SOCIETE CIVILE REUNIES AU SEIN DU CAFCO ONT ETE RECUES PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

ConsultationReçues au troisième jour des consultations initiées par le Président de la République, les femmes de la Société civile ont proposé au Chef de l’Etat le retour du scrutin à deux tours pour l’élection présidentielle et la réforme de la loi électorale.

Au sortir de cette rencontre avec le Président de la République, la présidente nationale du Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (CAFCO) a déclaré qu’elles ont présenté au premier citoyen de la RDC le cahier des charges des femmes congolaises. Il reprend les questions liées à la réforme de la loi électorale, la sécurité et la diplomatie.

Rose Mutombo a fait savoir que « nous avons proposé au Chef de l’État d’inscrire le quota des femmes par rapport à l’article 13 de la loi électorale, dans la nouvelle loi afin d’accroitre le nombre des femmes dans la participation politique.

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Le Cadre permanent de concertation de la Femme congolaise (Cafco) organise depuis le 20 juillet, et ce jusqu’au 22 à Kinshasa, avec l’appui du PNUD, un atelier de renforcement des capacités de ses membres sur l’approche « Gender Washing » ou lavage du genre.

 

PPPPCes assises se veulent être un mécanisme de renforcement des capacités  des membres de Cafco, mais aussi et surtout une façon d’orienter, mieux adapter la gouvernance de celui-ci. Elles permettront l’élaboration d’une feuille de route qui servira de base à l’accompagnement des réformes institutionnelles, ainsi qu’à la cartographie des femmes en fonction de leur expertise pour un travail professionnel.

Pour la Secrétaire générale de Cafco, Adine d’Or  Omokoko, l’organisation de cet atelier revêt une importance capitale en ce qu’il vise à outiller les femmes à s’inscrire dans cette nouvelle donne nationale, qui entre dans la droite ligne des objectifs du développement durable (ODD). Elle a invité les participants  à l’assiduité  durant les 3 jours d’échanges  afin de s’approprier ce nouveau concept de « Gender Washing » pour une gestion efficace.

Pour sa part, le directeur de cabinet de la ministre du Genre, Bienvenu Akilimali a indiqué que le concept « Gender washing« , permettait de mettre un terme à l’hypocrisie marketing sur les conditions sociales de la femme congolaise et exige des intervenants une dose d’exactitude dans la manière de faire le reporting et le monitoring, sur la question de la femme.

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Conférence de presse CGND

 

 

 

 

La coalition de lutte contre les grossesses non désirées (CGND) a, au cours d'une conférence de presse, le jeudi 08 octobre 2020, recommandé au gouvernement, précisément au ministre du genre famille et enfant, de s'impliquer dans l'application du protocole de Maputo autorisant les avortements médicalisés en cas d'agression sexuelle, viols et d'inceste.

  • Nous recommandons de domestiquer le protocole de Maputo qui, dans son article 14 alinéa 2, protège les droits reproductifs des femmes, particulièrement en autorisant les avortements médicalisés, en cas d'agressions sexuelles, de viols, d'inceste et lorsque la grossesse met en danger la santé mentale et physique de la mère ou la vie de la mère ou du fœtus", a déclaré l'une des oratrices. Elle a affirmé que ce plaidoyer vise principalement à permettre aux femmes et aux jeunes filles en âge de procréer à avoir accès aux services d'avortements sécurisés dans toutes les structures sanitaires et aux prestataires de soins, de mieux offrir les services sans contrainte. La Coalition a appelé le ministère de la Santé à valider les normes et directives des soins complets d'avortements, pour protéger les prestataires des services de santé.