Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Bongo te tika

Le Cadre Permanent de Concertation de la Femme Congolaise (CAFCO) continue son action visant la prévention de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et filles en RDC et celle liée à la promotion de leurs droits. Cette plateforme de la société civile bénéficie à cet effet de l'appui de l'ONU Femmes pour relever ce défi. 

Dans cette quête, le CAFCO a convié ce samedi 08 avril 2023 à Kinshasa, des femmes, hommes, filles et garçons venus de 4 districts de la capitale congolaise à une journée de sensibilisation à travers la diffusion de la pièce théâtrale « Bongo te totika ». Ce film met en exergue toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. 

L'objectif était de permettre aux participants d'identifier les violences basées sur le genre (VBG) le plus récurrentes qui bloquent l'autonomisation et l'épanouissement de la femme et de la jeune fille en vue de constituer des comités de surveillance. 

« Une pièce de théâtre a été réalisée en ce qui concerne toutes les formes des violences que subissent la femme et la jeune fille. L'idée est que dans chaque coin de la ville de Kinshasa qu'on puisse constituer des comités de surveillance des violences basées sur le genre. C'est pour cette raison que le CAFCO a appelé des femmes, hommes, filles et garçons venus notamment de la Tshangu et la Lukunga. Nous avons projeté ce film et les participants ont identifié les différentes violences basées sur le genre. Ils ont aussi proposé quelques actions à mener afin de lutter contre toutes ces formes des Violences Basées sur le Genre », a déclaré madame Mimy Mopunga, membre du CAFCO. 

D'après elle, la lutte contre les discriminations à l'égard des femmes passe par l'élimination des stéréotypes traditionnels. 

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Les chefs traditionnels et religieux s’engagent en faveur de l’accès des jeunes filles aux services de SSR

Chefs traditionnelsLe 08 février, des leaders traditionnels, religieux, prestataires de santé, représentants des organisations des jeunes et le Programme national de santé des adolescents (PNSA) ont pris part à un dialogue organisé par le Cadre permanent de concertation de la femme congolaise à Kinshasa.  L’objectif de cette rencontre a été d’évaluer et élaborer des recommandations en lien avec l’accès des adolescents et particulièrement des filles aux services de santé de la reproduction. 

Il s’agit d’une activité du projet SHARP (Solution pour soutenir des adolescents en pleine santé et la protection de leurs droits), mis en œuvre dans six pays de la région des grands lacs, dont la RDC et piloté par Health Actions International (HAI), une organisation hollandaise. Ange Moray, coordonnatrice SSR à HAI, a relevé les 4 piliers dudit projet.  

A savoir, « Influencer les politiques (les réglementations et les budgets alloués au secteur). Les services (faire des études et analyses pour déterminer le niveau d’accessibilité aux produits auprès des établissements de santé), un engagement multi acteurs (inclure les leaders religieux et traditionnels surtout des jeunes). Le dernier pilier concerne les influenceurs (identifier des champions qui vont soutenir et communiquer des informations justes et correctes aux jeunes) ».  

Mimy Mopunga, responsable de ce projet au sein du CAFCO a ensuite présenté l'état des lieux de l’accès des jeunes aux services de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR), les causes, les conséquences des grossesses non-désirées, ainsi que les instruments nationaux, régionaux et internationaux signés et ratifiés par la RDC qui abordent cette question. Le Docteur Valentin Tshitenge, président du Centre congolais de l'expertise médico-social pour les personnes en situation d'handicap (CCEMS/PH) a exposé autour de l’éducation sexuelle chez les adolescents et les droits y relatifs. Il a présenté les obstacles, les opportunités et l’importance qui entourent les droits des jeunes en cette matière.

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

REFORME ET DISSEMINATION DES TEXTES ET DES LOIS FAVORABLES A L'ENTREPRENARIAT FEMININ

Carnavale entrepreneureCarnavale entrepreneure 2

Dans le cadre de la mise en œuvre des stratégies de l’autonomisation de la femme, l’une des causes  qui empêche la femme à jouir de ses droits, afin d’accéder au poste des décisions à tout le niveau et de bénéficier  de ses droits dans tout le domaine de la vie.

Ainsi, le Gouvernement Congolais a conçu  ce projet d’Appui au Développement des Micro, Petites et Moyenne Entreprises «  PADMPEM » pour voir les femmes améliorer leurs conditions de vie.

 Ce projet  est supervisé par L’ONU Femmes et son volet « Réforme et Dissémination des textes et des  lois favorables à l’entreprenariat féminin est exécuté par  le Cadre Permanent de Concertation de la Femme Congolaise « CAFCO » selon l’accord de partenariat signé au mois de mai 2022.

En effet, la femme congolaise apporte sa contribution à  l’économie nationale de son pays  à travers ses diverses activités génératrices des revenus, elle développe des petits commerces qui permettent à chacune d’elles soit de nouer le deux bouts du mois, soit de scolariser des enfants, bref prendre soins de sa famille ou de son foyer.

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Une offre pour accompagner le leadership féminin

Bâtiment CAFCO

Le Cadre permanent de concertation de la femme congolaise (CAFCO), a présenté mercredi 28 décembre l'offre programmatique élaborée pour accompagner le leadership féminin.

Cette structure a décidé de mettre le cap sur le leadership des femmes ainsi que l’investissement dans la qualité des services que les partis politiques en RDC doivent offrir aux femmes pendant cette période du processus électoral.

Avec l’appui du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), cette plateforme va ainsi poursuivre la mise en œuvre de sa feuille de route liée à la participation politique des femmes.

« Le CAFCO vous invite à la cérémonie de la présentation de son offre programmatique pour vous accompagner, entre autres, dans les stratégies de mobilisation des femmes, de coaching en masse, de coaching personnalisé des femmes candidates, de communication politique, financement de la campagne électorale, observation électorale, médiation électorale, gestion du contentieux électoral de femmes », a expliqué la co-fondatrice de CAFCO, Anne-Marie Makombo.

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

 

Rose Mutombo satisfaite du fonctionnement de la justice malgré quelques défis à relever

 

Rose MinistreLa ministre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux a accompagné le Premier ministre en Ituri et au Nord-Kivu pour procéder à une  évaluation de l’état de siège, 16 mois après. Au terme de cette mission à Goma, Rose Mutombo Kiese a fait le point du fonctionnement de la justice pendant cette période de l’état de siège.  «D’une manière générale, la justice a mieux fonctionné surtout que nous avons eu le temps de prendre certaines circulaires qui ont permis à ce que les choses puissent changer au niveau des juridictions militaires et civiles», a déclaré la patronne de la Justice nationale. 

Toutefois, cette « warrior » a reconnu qu’il y a un problème sérieux dans son secteur. C’est notamment  le manque de magistrats, et celui  de la  surpopulation dans les milieux carcéraux. «Nous devons y travailler sérieusement et surtout aussi le problème d’approvisionnement des prisons qui commencent parfois en retard. Nous allons y veiller pour qu’on puisse trouver des réponses à tous ces défis», a rassuré Rose  Mutombo. 

Concernant le désengorgement des prisons du pays, la ministre de la Justice a indiqué que ses équipes y  travaillent. Elle a assuré qu’elles tiennent des séances de travail avec des auditeurs ainsi que des procureurs généraux et des premiers présidents des Cours d’appel dans les différentes provinces.